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Yiming MIN - Page 2

  • Le texte de Michel King, Président de la Société Nationale des Beaux Arts, sur la première exposition de Yiming Min en France (décembre 2014)

    carrousel_du_louvre_SNBA.jpgDans le temple intemporel de l'infini, les dieux telluriques sculptèrent la sellette ronde de la terre naissante. Ils soulevèrent et modelèrent le magma incandescent en plans superposés, interposés, juxtaposés, imposés, vers le vide lumineux des cieux. Le globe exposa en avant première, en avant scène, en avant-garde, sa première installation sculpturale. La Chine devint une sculpture posée au milieu du monde. Ses cimes ermites, silencieuses, méditatives s'entourèrent des voiles de soie des nuages messagers des rêves du Tao. Alors l'esprit vint habiter les montagnes.


    839471-img_9738.jpgLes degrés de pierres ont l'air d'être en jade ; 

    Les pins en ligne ont le vert d'un plumage.

    Dans sa beauté, unique et sans égale, 

    Le Dieu n'a pas au monde de rival.

    (Poème à chanter des Dynasties du Sud)

    Yiming Min se fait démiurge. Il modèle, assemble, fusionne, les matériaux venus de la terre et ceux des hommes et les dote de l'esprit de la montagne. Il n'a pas de rival dans les degrés promenade de ses installations où chantent les poèmes de notre temps.

    Yiming Min se fait magicien. Il transforme une pierre lunaire en un morceau de cuivre fondu et voilà une sculpture. 

    Yiming Min se fait alchimiste de l'absolu des rêves d'or. Il façonne l'alliage des éléments contraires dans la recherche de la perfection. Le vide créateur retiendrait-il, captive, la perfection ? Il pose cette interrogation. Cette troublante question qui hante tous les grands artistes.

    Yiming Min se fait sculpteur-lettré, poète. D'une montagne de cuivre, il fait jaillir l'eau en cascade, et il nous invite à la contempler en esprit d'amitié.

    Cette quête des formes du parfait, Yiming Min la poursuit depuis de nombreuses années. Depuis 1998, il montre ses oeuvres dans de multiples manifestations en Chine. En 2014, Paris l'accueille. Le Salon de la Société Nationale des Beaux Arts au Carrousel du Louvre lui offre un espace.

    Yiming Min a obtenu de nombreuses distinctions dans sa province du Fujian. Cette terre de hautes montagnes posées sur d'immenses étendues de sable, expose à notre regard, l'image d'installation de sculptures titanesques. Ici "L'univers est à la portée de la main". L'oeuvre de Min Yiming qui porte ce titre et qui a obtenu le Premier Prix du Concours 2007 de sculptures urbaines de Chine, fut-elle inspirée par sa belle et grandiose région ?

    Paris inspirera t-il l'artiste ?

    Yiming Min, n'en doutons pas, inspirera Paris.

    Paris est à la portée de sa main !

    Michel King, Président de la Société Nationale des Beaux Arts, décembre 2014

    Capture d’écran 2014-12-17 à 11.59.28.png

  • RSVP INVITATION AU VERNISSAGE DU PLUS GRAND SCULPTEUR CHINOIS VIVANT : YIMING MIN LE SAMEDI 13 DÉCEMBRE 2014

    Victoire de Samothrace.jpg

    RSVP pour signaler votre présence : 

    Attachée de presse : Guilaine Depis 06 84 36 31 85 / guilaine_depis@yahoo.com 

    INVITATION

    Pour la première fois en France

    Exposition de sculptures de l'artiste chinois Yiming MIN

    du 13 au 16 décembre 2014 de 10h à 19h 

    Espace Pierre Cardin 1-3 avenue Gabriel  75008 Paris

    L'ÉMOTION DE L'INSTANT

    Vernissage suivi d'un cocktail/champagne

    * une surprise sera offerte aux journalistes

    le samedi 13 décembre 2014

    à partir de 18h

    Site officiel http://minyiming.com (contact France Yan Chen) lianechen@hotmail.fr

    Curateur : Georges Saulterre (biographie icisaulterregeorges@orange.fr 

     

    Capture d’écran 2014-11-24 à 13.16.45.png

     

     

  • La Victoire de Samothrace par Yiming MIN (exposition Espace Cardin 13 au 16 décembre 2014)

    The goddess of victory (La Victoire de Samothrace) par Yiming MIN

     

    胜利女神

    Victoire de Samothrace.jpg

     

    Samothrace 2.jpg

     

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  • La sculpture "Loin et près" de Yiming MIN (exposition Espace Cardin du 13 au 16 décembre 2014)

    Far and near ("Loin et près") par Yiming MIN

    上下左右

    crane deux.jpg

     

    crane 1.jpg

     

     

     

     

  • Georges Saulterre, curateur du sculpteur chinois Yiming MIN

    Biographie de Georges Saulterre (site officiel http://www.saulterre.com)

    Des Flèches des Cathédrales sur l’autoroute A10 parue dans le Guinness des Records 1998, à Ange et Tortue Glorieuse, première sculpture monumentale installée au Jing’an Park de Shanghai,  et tout dernièrement la Chimère exposée  Au musée d’art contemporain de Qingdao (Chine), Saulterre n’a de cesse de nous offrir une palette d’œuvres symboliques, sensuelles, un musée de l’Imaginaire comme on aime.

    Plus de 155 000 000 d’automobilistes en France croisent annuellement ses sculptures monumentales ; le Héron cendré, A l’aube des temps, le Signal des Alpes, Sur la trace des vikings, l’Aérotrain, le mémorial de la Paix d’Alizay (France),  le coq géant au milieu du vignoble bordelais Château la France, c’est lui... Sa poésie et sa démesure esthétisante touchent tous ceux qui savent encore rêver..

    Homme du bonheur, homme de bonheur, il est de notre temps et témoigne de tout, voit tout, sent tout : le bonheur certes mais aussi le drame, le silence et le vacarme, la paix et la guerre, le passé et le présent.

    Saulterre en parle, nous en parle. Véritable magicien, il transcende les idées, transpose les concepts, recrée les formes, maîtrise la matière au gré de son inspiration et de ce qu’il entend exprimer. Il façonne, domine, soumet les matériaux, utilise le grès comme le plâtre, le verre comme le métal, l’aspérité comme la forme pleine, le figuratif comme l’abstrait. Il se sert de tout, et tout lui sert !

    La verticalité n’est pas faite que de rondeur : il prend, domine, habite l’espace, apprivoise le vide, conjugue de façon surprenante puissance et légèreté et dresse partout, dans les parcs et sur les routes, en France comme à l’étranger,  ses sculptures monumentales où l’inox se joue des volumes et de la pesanteur, où le mouvement s’exprime dans une dimension colossale qui métamorphose la lumière au gré des heures qui passent.

    Flèches qui s’élancent, volutes de métal qui enlacent l’espace, ailes ou pyramides , miniatures qui caressent le vide avant l’envol, il les fait habiter des lieux contemporains et les apprivoise à la mesure d’aujourd’hui.