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  • Jacques Pradel donne la parole à Christian Rol sur RTL (30 avril 2015)

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    Réécoutez l'émission où Christian Rol a été interviewé par Jacques Pradel ici 

    http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/l-assassinat-de-pierre-goldman-7777518779

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    L'édito de Jacques Pradel

    A la Une de l’heure du crime aujourd’hui, l’assassinat en 1979, d’une figure de l’extrême gauche de l’époque,  Pierre Goldman, par un mystérieux commando…Qui était véritablement Pierre Goldman ? Quelle est l’identité des membres de ce commando qui l’ont abattu en plein Paris, le 20 septembre 1979? 
    Qui a donné l’ordre de le tuer ? Plusieurs pistes ont été suivies à l’époque, par les enquêteurs. Elles ont toutes débouché sur des impasses. Près de 30 ans plus tard, en 2009, un livre du commissaire Lucien-Aimé Blanc, ancien chef de l’OCRB, l’office central de répression du banditisme, révélait le témoignage et l’aveu d’un de ses anciens indicateurs, qui aurait participé à cet assassinat commandité par une officine politico-mafieuse. Mais aucune preuve n’était apportée. Aujourd’hui encore, cet assassinat impuni et son mobile précis, demeurent une énigme. Mais, un nouveau livre, signé du journaliste Christian Rol, relance à nouveau l’affaire, ces derniers jours, en révélant, après son décès, l’identité d’un autre tueur.
    Nous revenons sur ces révélations, mais aussi sur la trajectoire et la personnalité de Pierre Goldman, avec le journaliste Mickaël Prazan qui a, lui aussi, mené une longue enquête sur cette affaire...

    Nos invités

    Michaël Prazan, écrivain et réalisateur. Auteur du livre « Pierre Goldman, le Frère de l’ombre »,( Seuil -2005)
    Auteur et réalisateur du film « L’assassinat de Pierre Goldman » (Kuiv productions – France 3), diffusion le 13 janvier 2006 – Sélection officielle FIPA 2006 (Biarritz, janvier 2006)
    Christian Rol, journaliste et écrivain. Auteur du livre « Le roman vrai d’un fasciste français »  qui vient de paraître aux éditions La Manufacture de Livres

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  • Dîner autour du livre de Christian Rol sur René l'Élégant aux Ronchons (30 avril 2015)

    Dîner sur René l'Élégant (livre de Christian Rol) aux Ronchons jeudi 30 avril 2015 

    (l'auteur Christian Rol, l'éditeur Pierre Fourniaud de La Manufacture des Livres qui publie des bons livres de toutes sortes, l'écrivain et critique Rémi Soulié et l'attachée de presse)

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  • Emmanuel Ratier reçoit Christian Rol dans son Libre-Journal sur Radio Courtoisie (29 avril 2015)

    Libre Journal de la résistance française du 29 avril 2015 : “La vie romanesque de René l'élégant"

    Christian Rol interviewé par Emmanuel Ratier.

    Réécoutez l'émission ici http://www.radiocourtoisie.fr/tag/christian-rol/

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  • Le Salon littéraire repère le livre de Roger Taylor, MERCI à Bertrand du Chambon ! (23 avril 2015)

    Géant des mers par Bertrand du Chambon

    Thèmes : 
    il y a 22 heures  Suivre ·  Utile · Commenter
    roger jolie.jpg   Il est des jours où nous aimerions avoir, comme Victor Hugo, la diarrhée de l'antithèse : l'homme est grand, et cependant il est petit ; la mer est douce, mais l'océan est terrifiant, etc... On pourrait broder ainsi longtemps quand on commence à lire le récit – ce n'est pas un roman – de Roger Taylor, homme d'affaires et coureur des mers. Cet homme-là est d'une modestie incroyable. Il accomplit les exploits les plus improbables, parcourt l'Atlantique nord à la barre de son humble voilier, croise autour du Svalbard qui est un archipel de la Norvège, barre au large du Groënland, risque sa coque en lisière des icebergs et revient les mains dans les poches, l'air de rien. Il a tout de même remporté la médaille Jester « pour sa contribution exceptionnelle à l'art de la navigation » et a reçu d'autres récompenses, mais bien sûr il n'en dira rien : lui, ce qui le passionne,ce sont les déferlantes, la laltitude 80° Nord, les puffins majeurs et les « albatros à sourcils noirs ». 

    Parti en mer, il se régale. Avec un soin précautionneux, une précision hallucinante, il décrit la houle, la texture des glaces, la coque du chalutier qui a manqué l'écrabouiller, un pétrel cul-blanc : « je le voyais pirouetter dans notre sillage, si près que son beau plumage brun chocolat, la barre légèrement plus claire en travers de ses ailes, son croupion blanc et même la fourche de sa queue étaient perceptibles dans les rares millièmes de seconde où mon œil parvenait à capter le mouvement et fixer une image quasiment nette. »

    Oui, voilà ce qu'il est, ce marin-là : attentif. Il ne s'ennuie jamais. Il porte une attention effroyable aux détails du monde, il observe la nature, goûte le moindre mouvement : on l'imagine en train de pêcher ou de baguer un oiseau.

    Parfois, ayant peur, la nuit il se dresse hors de sa bannette tandis qu'il sent tanguer son embarcation, et il chante des bêtises pour se donner du courage, hurlant contre l'insolente immensité du monde : 

    « In South Australia I was boooorn !

    Heaaaave away ! Haaaaul away !

    South Australia round Cape Hoooorn !

    Bound for South Austraaaalia !

    Je n'avais pas chanté ces paroles depuis quarante ans. Je me suis souvenu de mes compagnons d'équipage. Je me suis rappelé comment nous nous cramponnions les uns aux autres et comment nous les chantions pour avoir moins peur de mourir de froid. »

    Même si comme moi vous ne connaissez rien à la mer, si naviguer vous paraît fastidieux, angoissant, vous aimerez ces pages gavées d'eau salée et de noroît. C'est un autre monde : nous découvrons ainsi que nous sommes des terriens, des gens qui ont besoin d'un sol, des rocs et des routes, alors que d'autres hommes, assez loin de nous, ont besoin de marées, de focs et de soutes. Ils vivent pour être sur de l'eau ! C'est à peine croyable. Le style de Roger Taylor, surprenant et pointu, affûté, d'une extrême précision, nous permet de commencer à explorer un tout autre univers. C'est fascinant : c'est comme découvrir une autre planète, et pourtant celle-ci est la nôtre. 70 % environ de la surface du globe. Nous autres, nous occupons les 30 % qui restent.

    Ce qui n'est pas désagréable, à force d'arpenter les mers, c'est qu'il est seul. Il regarde l'univers, demande des comptes à Dieu et au personnel navigant. Blessé, et dervant s'opérer seul, il convoque l'équipage : « Le Médecin et Dentiste du bord a soigneusement rangé toute la panoplie (…). Le Skipper a suggéré de se concentrer sur la navigation. Le Garçon de cabine, étrangement silencieux pendant tout cet intermède, avait un discret sourire de soulagement. » Mais ces quatre personnes, c'était lui, et lui seul.

    Reste alors un soir à croiser l'albatros, l'apercevoir enfin, créature de Baudelaire et de Coleridge (une note de bas de page nous rappelle Le Dit du vieux marin, au cas où nous l'aurions oublié) qui évoque la folie de notre monde : « Aucun autre oiseau ne peut causer une réaction aussi complexe. L'albatros est innocence et reproche, à parts égales. Il nous montre ce à quoi nous aurions pu aspirer et comment nous y avons échoué. »

    Hardi marin, grand écrivain, bon philosophe, Roger Taylor est tout cela, et d'autres hommes encore. On peut se risquer à le lire : on se surprend à être comme lui, seul, mais en bonne compagnie.

     

    Roger Taylor, Mingming au rythme de la houle, éditions La Découvrance 2015, 21 €. 

     

  • Un article objectif de qualité par un brillant penseur littéraire, libre et indépendant sur le livre de Christian Rol (23 avril 2015)

    Christian Rol, Le roman vrai d’un fasciste français

    christian rol le roman vrai d un fasciste francais
    Qui a vécu sa jeunesse entre 1967 et 1987 lira avec passion ce livre. Il retrace la vie parisienne, idéologique et activiste de ces années-là. L’éditeur est spécialiste des vies exemplaires et a déjà publié la vie l’Al Capone, le testament de Lucky Luciano, les confidences de J.E. Hoover, les histoires d’espions ou de P.J. de Charles Pellegrini, les rires de Spaggiari et les braqueurs des cités de Rédoine Faïd – entre autres. Il s’intéresse ce mois-ci à René Resciniti de Says, flambeur déclassé, barbouze élégant et possible tueur de Pierre Goldman (demi-frère aîné de Jean-Jacques, l’idole des années 80 et enfoiré de première pour les Restau du cœur) – tueur possible aussi d’Henri Curiel (fils de banquier juif égyptien, communiste et anticolonialiste), plus quelques inconnus nécessaires.

    Possible, car rien n’est sûr malgré le titre accrocheur, même si les présomptions sont fortes, encore que le brouillage des pistes soit la spécialité des « services » parallèles, notamment sous de Gaulle (avec Foccart), Giscard (avec Debizet) et Mitterrand (avec Grossouvre). Pourquoi Goldman ? (dont j’ai parlé ici) – Parce qu’il représentait aux yeux de la droite au pouvoir tout ce que le gauchisme post-68 avait de repoussant : l’arrogance d’un juif polonais délinquant, la pression jamais vue des intellos de gauche sur la justice, l’impunité d’un braqueur qui aurait tué deux pharmaciennes et blessé un policier. Pourquoi Curiel ? Parce que cet internationaliste marxiste, il y a peu traître à la patrie en portant des valises pour le FLN algérien, était devenu le centre d’une nébuleuse d’aide aux terroristes gauchistes, dont Carlos a été la figure la plus meurtrière. René de Says a tué sans état d’âme ni passion ; il n’était pas un tueur psychopathe mais un activiste politique, convaincu d’agir pour le bien de la France.

    René, dit Néné, baisait bien avant sa majorité les sœur Nichons, devant ses copains ébahis. A 15 ans, en 1967, il avait la virilité précoce et la prestance de l’adolescent affranchi, étreignant déjà et régulièrement les filles du Lido près de chez lui, et couchant un mois entier avec sa marraine à la trentaine épanouie. Il avait dû commencer à 12 ou 13 ans et les collégiens de son âge, frères aînés de l’auteur, en étaient fascinés. Néné n’avait pas attendu mai 68 pour jeter l’austérité puritaine aux orties et bafouer l’autoritarisme suranné des dernières années de Gaulle. Ce pourquoi il n’a jamais été sensible aux sirènes sexuelles du gauchisme, dont on se demande s’il aurait eu tant de succès s’il n’avait pas encouragé la baise entre tous et toutes, selon les multiples combinaisons de Wilhelm Reich… D’ailleurs le marxisme du Parti communiste est devenu brutalement ringard en quelques mois, alors que les cents fleurs du maoïsme et la prestance christique de Che Guevara enflammaient les passions. Baisons rimait avec révolution alors que votons était piège à cons. C’était l’époque – bien décrite aussi côté mœurs par Claude Arnaud.

    Mais nous sommes avec René dans l’aventure. Ce « garçon de bonne famille à la réputation de voyou »(p.25) est aussi à l’aise au Ritz qu’au bordel. Il aime les putes et les fringues, avant l’alcool et l’adrénaline. Il n’a pas froid aux yeux ni la morale en bandoulière : ce qu’il ne peut s’offrir, il le vole – habilement – ou monte une arnaque pour l’obtenir. A demi-italien, il a le sens du théâtre ; même sans le sou, il a celui de la prestance. Son bagout et sa culture font le reste. Abandonné par un père volage qui n’a jamais travaillé mais qui descend d’un neveu du comte Sforza, célèbre antifasciste, il fait le désespoir de sa mère mais revient toujours à elle. En bon déclassé, habitant un minable deux-pièces – mais sur les Champs-Élysées – il est séduit par le baroque désuet de l’Action française, malgré le titre racoleur et faux du livre qui en fait un « fasciste ».

    Christian Rol, petit frère d’amis de Néné et journaliste aujourd’hui à Atlantico, n’hésite pas à en rajouter pour faire monter la sauce, poussant la coquetterie jusqu’à déguiser nombre de témoins par des pseudonymes « pour protéger ses sources » – tout en lâchant un vrai nom page 308, sous couvert d’un article cité d’un obscur canard que personne n’aurait jamais cherché. Que valent des « témoignages » qui doivent rester anonymes ? Ce pourquoi le dernier tiers du livre est assez mal ficelé, redondant, citant de trop longs passages d’un journal intime insignifiant ou un dithyrambe nécrologique de peu d’intérêt. Christian Rol, c’est clair, est un conteur d’histoire au style action, un brin hussard, mais pas un journaliste d’investigation.

    Et c’est dommage, car les 200 premières pages sont captivantes, replaçant bien les personnages dans le contexte d’époque, les jeux de guerre froide, le terrorisme à prétexte palestinien, la trahison des clercs qui, par lâcheté, hurlent avec les loups, l’explication universelle par un marxisme dogmatique revu et simplifié par Trotski et Mao, la haine de classe des petit-bourgeois qui veulent devenir de grands bourgeois à la place des grands bourgeois (ce qu’ils feront sous Mitterrand), la haine de génération envers les vieux cons, encouragée par Sartre de plus en plus sénile à mesure des années 1970. L’extrémisme de gauche a secrété de lui-même un extrémisme de droite, moins dogmatique et plus romantique, habité de la fureur de vivre des enfants du baby-boom, trop nombreux et avides d’exister dans une société coincée par la petite vertu des années de guerre mondiale et de reconstruction. L’auteur note de René « sa bohème et sa nature profondément libertaire » p.62.

    Gauchiste, ne te casse pas la tête, on s’en charge ! était le slogan minoritaire de ces années de guerre civile en faculté. L’engeance du progressisme bourgeois, qui allait donner le bobo dans sa crédule bêtise et son narcissisme de nanti, était la mode à combattre. Sans avoir été de ce bord, je le comprends dans son époque. La pression médiatique des quotidiens contaminés tels l’ImMonde, le Nouveau snObs, l’Aberration, le Mâtin des paris et autres LèchePress (titres parodiques inventés ces années-là) était telle qu’elle suscitait son antidote, par simple santé mentale. Dès qu’on voulait penser par soi-même, il fallait quitter la horde, lire autre chose que le Petit livre rouge ou Das Kapital, analyser autrement que par les structures marxistes faites de rapports schématiques de domination.

    Néné et ses copains ne s’embarrassaient pas d’intellectualisme ni de théorie ; ils aimaient la France, vieux pays du sacre de Reims, et n’aimaient pas ces idées immigrées de la philosophie allemande. Ils baisaient comme les gauchistes – mais surtout les filles, pas les garçons comme leurs adversaires, encore moins les enfants ; ils faisaient le coup de poing comme eux – mais avec plus de conviction et trop souvent à deux contre dix ; ils étaient surtout moins lourdement « sérieux », nettement plus potaches. Au point d’aller fesser JJSS (Jean-Jacques Servan-Schreiber lui-même !) en pleine conférence devant les bons bourgeois d’Angers.

    Faute de vouloir se caser avec emploi, épouse et gosses, nombre de ces rebelles sans cause se sont engagés. Pour René, ce fut dans les parachutistes, au 9ème RCP où il deviendra caporal-chef. Mais toute hiérarchie lui pèse, les putes lui manquent et les fringues militaires ne valent pas les costumes sur mesure de son tailleur Cohen, ni les pompes Weston sans lesquelles il se sent en tongs. Après les paras, ce sera l’engagement au Liban, côté phalanges chrétiennes contre les « islamo-progressistes » financés par l’URSS, puis au Bénin avec Bob Denard pour un putsch manqué à cause du manque d’envergure stratégique dudit Denard – qui laisse sur le tarmac une caisse emplie d’archives, contenant les noms et photos des papiers d’identité de tout le commando ! Le portrait du mercenaire, page 167, vaut son pesant de francs 1980.

    Ce n’est que page 179 qu’on assassine Henri Curiel, et page 185 Pierre Goldman. Sur ordre du Service d’action civique (SAC) mais pour le compte d’autres commanditaires : Poniatowski ? le SDECE ? les services secrets sud-africains ? Gladio ou la CIA ? On mourrait sec dans la France giscardienne : Jean de Broglie, Robert Boulin, Jean-Antoine Tramoni… Curiel et Goldman ont été pris dans cette mixture inextricable de paranoïa barbouzarde et de liaisons internationalistes-progressistes manipulées par les grands de la guerre froide. Rien de personnel, rien que le nettoyage d’agents de la subversion. Est-ce réalité, est-ce vantardise ? peu importe, au fond. Ce qui compte est le roman d’aventure de ces années, l’amoralité de cette génération qui a explosé en 68, la vie accomplie avant trente ans, comme Achille, Alexandre ou Jésus…

    René de Says a encore arnaqué des Chinois des Triades, fait la bringue avec l’ex-Waffen SS Christian de La Mazière, témoigné dans Le chagrin et la pitié de Max Ophüls, mais le cœur n’y était plus. Difficile de rester un flambeur marginal épris de la patrie et des filles, une fois passée la vigueur exceptionnelle de la jeunesse. René l’aristo à demi italien reste un clochard céleste qui a vécu mille vies, mais a toujours été hanté par le néant. Sa fin, à 61 ans, est dérisoire : Néné le Camelot est mort d’une tranche de gigot, en fausse-route à Fontenay.

    Si ce livre n’est ni « une bombe », ni la révélation « de l’homme qui tua Pierre Goldman et Henri Curiel », il est surtout le roman politique d’une époque, de l’autre côté de la mode. Ce qui est rare, d’autant plus passionnant.

    Christian Rol, Le roman vrai d’un fasciste français, avril 2015, éditions La manufacture de livres, 314 pages, €19.90

    Éditions La manufacture de livres – attachée de presse Guilaine Depis – 06.84.36.31.85 guilaine_depis@yahoo.com

  • Musique yiddish pour fêter Yom ha'Atzmaout avec Claude Berger et le pianiste Florient Dumitru

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    Jeudi 23 avril à 16h30 au CAFÉ DES PSAUMES

    Venez fêter Yom ha'Atzmaout avec Claude Berger et le pianiste Florient Dumitru : musique yiddish, petites et grandes histoires juives.

    16 ter rue des Rosiers 75004 Paris (Métro Saint-Paul)


    À lire d'urgence :
     "Itinéraire d'un Juif du siècle" aux Éditions de Paris AVEC LE SOUTIEN DE LA FONDATION POUR LA MÉMOIRE DE LA SHOAH 

    Demandez en service de presse le nouveau livre de Claude Berger et venez assister à ses conférences et concerts. 

    Renseignements auprès de son attachée de presse guilaine_depis@yahoo.com / 06 84 36 31 85 

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