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Christian ROL

  • Soirée sur René Resciniti de Says à la librairie Contretemps jeudi 11 juin 2015 dès 18h30

    Soirée exceptionnelle avec Christian Rol à la librairie Contretemps

    Signature et rencontre à la librairie avec Christian Rol le jeudi 11 juin, de 18h30 à 21h pour son livre "Le roman vrai d'un fasciste français" aux éditions La Manufacture des livres.

    Merci à l'excellent libraire Xavier de Marchis

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  • Révélations sur les assassinats de deux activistes d'extrême gauche (fdesouche 7 mai 2015)

    Un ancien membre de l’Action française, mort en 2012, affirme dans un livre posthume avoir participé aux assassinats d’Henri Curiel en 1978 et de Pierre Goldman en 1979, deux figures de l’extrême gauche des années 1970.

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  • "Les infos en 10 mots" évoquent les assassinats de Goldman et Curiel (6 mai 2015)

    Les assassinats de deux activistes d'extrême gauche revendiqués plus de trente-cinq ans après les faits

    Catégorie : France

    mercredi 6 mai 2015 - 19:15:30

    C'est un mystère vieux de plus de trente-cinq ans qui vient peut-être d'être résolu. Dans un livre intitulé Le Roman vrai d'un fasciste français (La Manufacture de livres), paru le 24 avril, René Resciniti de Says revendique les assassinats de deux figures de l'extrême-gauche des années 1970, Henri Curiel et Pierre Goldman. Mais comme le rappelle Livres Hebdo, qui relaie l'information mercredi 5 mai, l'ancien membre de l'Action française ne pourra pas être mis en examen pour ces deux meurtres, car il est mort en 2012, à l'âge de 61 ans.

    Dans son livre, l'ex-parachutiste affirme avoir participé à l'assassinat du militant communiste Henri Curiel, tué par deux hommes dans l'ascenseur de son immeuble parisien, le 4 mai 1978. René Resciniti de Says affirme également...

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  • France TV info fait du livre de Christian Rol un événement (6 mai 2015)

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    C'est un mystère vieux de plus de trente-cinq ans qui vient peut-être d'être résolu. Dans un livre intitulé Le Roman vrai d'un fasciste français (La Manufacture de livres), paru le 24 avril, René Resciniti de Says revendique les assassinats de deux figures de l'extrême-gauche des années 1970, Henri Curiel et Pierre Goldman. Mais comme le rappelle Livres Hebdo, qui relaie l'information mercredi 5 mai, l'ancien membre de l'Action française ne pourra pas être mis en examen pour ces deux meurtres, car il est mort en 2012, à l'âge de 61 ans.

    Dans son livre, l'ex-parachutiste affirme avoir participé à l'assassinat du militant communiste Henri Curiel, tué par deux hommes dans l'ascenseur de son immeuble parisien, le 4 mai 1978. René Resciniti de Says affirme également avoir participé au meurtre de Pierre Goldman, ancien membre du service d'ordre des étudiants communistes de la Sorbonne, devenu guérillero au Venezuela puis gangster, tué par balle le 20 septembre 1979 dans le 13e arrondissement.

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    Le mystérieux "Gustavo" 

    A l'époque, ces deux meurtres avaient été revendiqués par une organisation d'extrême droite inconnue, baptisée "Honneur de la police". René Resciniti de Says affirme, en fait, avoir agi en tant que membre du SAC, le service action chargé des basses besognes du parti gaulliste. En 2012, un blog du Monderelayait déjà l'identité de Resciniti de Says, alias "Gustavo", l'homme qui revendiquait de façon anonyme le meurtre de Goldman dans un documentaire diffusé en 2010 par Canal+.

    Dans ce post de blog, les journalistes du Monde rappellent que René Resciniti de Says, au-delà de son appartenance aux Camelots du roi et à l'Action française, était également un ancien parachutiste devenu mercenaire au Liban puis en Afrique, aux côtés notamment de Bob Denard.

    "Une tache dans l'histoire de la France"

    Après la révélation de son implication dans les meurtres d'Henri Curiel et de Pierre Goldman, Noël Mamère a demandé une nouvelle fois l'ouverture d'une commission d'enquête. "Les déclarations de René Resciniti de Says doivent être prises avec réserve, mais elles prouvent que l'ouverture d'une commission d'enquête se justifie plus que jamais, a déclaré le député écologiste, interrogé par francetv info. Tant que ce ne sera pas fait, ces assassinats resteront une tache dans l'histoire de la France."

    "Il est évident que ces assassinats ont été commandités par quelqu'un, par un organe para-étatique dépendant du pouvoir", a ajouté Noël Mamère. L'élu a toutefois estimé qu'il y a peu de chances que les archives des services secrets soient rendues accessibles. "Je demande une commission d'enquête pour le principe, parce qu'il serait juste qu'on connaisse enfin la vérité", a-t-il conclu.

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  • Libération parle du scoop sur René Resciniti de Says, assassin de Goldman et Curiel (6 mai 2015)

    Libération

    37 ans après. L'assassin de Henri Curiel et Pierre Goldman, tués respectivement en 1978 et 1979, serait René Resciniti de Says, un membre de l'Action française mort en 2012, rapporte Livres Hebdo.

    Et c'est l'intéressé qui le revendique lui-même, dans Le Roman vrai d'un fasciste français, un livre du reporter Christian Rol publié le 24 avril chez La Manufacture des Livres.

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  • Site du PCF * Michel EL DIABLO, rêveur de mieux avec son grenier des affiches syndicales et politiques (6 mai 2015)

    COMMUN COMMUNE - L'actualité au jour le jour vue par Michel EL DIABLO, rêveur de mieux avec son grenier des affiches syndicales et politiques

    et 

    PCF Bassin d'Arcachon

    L'assassinat "politique" d'Henri Curiel revendiqué

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    Ce  militant communiste et anticolonialiste a été assassiné par deux hommes, le 4 mai 1978, dans l’ascenseur de son immeuble. 37 ans après, dans un livre "Le roman vrai d'un fasciste français", un homme revendique pour la première fois cet assassinat

    Né en 1914 au Caire, Henri Curiel a, entre autres, participé au réseau d’aide au FLN fondé crée par Francis Jeanson, les "porteurs de valises", avant d’en prendre la direction, passe dix-huit mois à Fresnes, est  libéré après la signature des accords d’Evian et passe à eux doigts de l’expulsion de France après avoir été expulsé d’Egypte en 1950.

    Il met ensuite son expérience au service des mouvements de libération nationale du tiers-monde et crée Solidarité, où les militants du monde entier viennent apprendre d’autres militants comment s’organiser, se cacher, et même se battre. Son dernier engagement est pour une tentative de solution du conflit israélo-palestinien. Convaincu que seul le dialogue permettra une issue, il organise des contacts clandestins entre "colombes" israéliennes et palestiniennes.  

    S’il est parfaitement  "connu" des services, Henri Curiel ne l’est pas du grand public jusqu’à un article de l’hebdomadaire Le Point, de 21 juin 1976 où Georges Suffert, l’accuse d’être "le patron des réseaux d’aide aux terroristes".

    Deux ans après, celui qui a toujours détesté le terrorisme selon Gilles Perrault, est assassiné par deux hommes, dans l’ascenseur de son immeuble, le 4 mai 1978. Aujourd’hui, ses tueurs courent toujours et le dossier est officiellement classé, mais dans un livre, "Le roman vrai d'un fasciste français", un homme revendique pour la première fois cet assassinat.

    Cet homme s’appelle René Resciniti de Says. Membre de l’Action française, proche des "services français" et des mercenaires de Bob Dénard. Il meurt en 2012, mais dans ce livre posthume, il revendique l'assassinat du militant d'extrême gauche Pierre Goldman et celui d’Henri Curiel.

    Le feu vert pour le meurtre lui aurait été donné par Pierre Debizet, le patron du SAC, la milice du parti gaulliste. C'est en tous cas ce qu'il confie au journaliste Christian Rol à qui il raconte pourquoi et comment il a assassiné Curiel.

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    Christian Rol :

     

    Deux personnes se sont occupées de l'exécution avec des armes prélevées à la Préfecture de Police de Paris et rendues ensuite

     

    Un témoignage à prendre avec précaution, estime la nièce d’Henri Curiel, Sylvie Braibant.

     

    Lui le revendique, j’ai parfois des doutes, mais si ce n’est lui c’est son "frère"

    Il y aura-t-il une commission d’enquête parlementaire ?

    Les archives des services secrets français sont jusqu'ici restées inaccessibles. Pour le député écologiste Noël Mamère, une commission d'enquête est une nécessité.

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