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Le numéro 1 ("Que veut Poutine ?") de la nouvelle revue de géopolitique CONFLITS sera en kiosques le 29 mars 2014

Joindre Guilaine Depis comme attachée de presse pour interviewer un ou plusieurs des rédacteurs (comme Pascal Gauchon qui lance cette revue) et/ou pour recevoir le n°1 de Conflits avec pour couverture "Que veut Poutine ?") au 06 84 36 31 85 / guilaine_depis@yahoo.com

Lire le Manifeste pour une géopolitique critique, édito de la nouvelle revue de géopolitique Conflits ici.  

Pourquoi une nouvelle revue de géopolitique ?

La géopolitique est à la mode. Peut-être trop. Peut-elle échapper au règne de l’immédiat et à la superficialité ?

C’est ce que nous espérons faire à Conflits. Nous entendons apporter une réflexion de fond sur cette discipline qui constitue d’une certaine façon la culture générale de notre époque, ce qui nous permet d’avoir un regard synthétique sur le monde.

Pour cela nous voulons faire de Conflits le carrefour de toutes les géopolitiques, celle des universitaires, celle des militaires, celle des hauts fonctionnaires, celle des entreprises, car la géopolitique ne se réduit pas aux relations entre Etats.

Le « manifeste pour une géopolitique critique » que nous définissons dans le premier numéro fixe nos principes d’analyse :

- géopolitique du temps long qui se méfie des émotions immédiates,

- géopolitique du terrain qui assume ses liens de filiation avec la géographie,

- géopolitique globale qui étudie l’ensemble des forces à l’œuvre, politiques, économiques, sociales ou culturelles,

- géopolitique réaliste qui se méfie des bons sentiments,

- géopolitique du soupçon qui cherche à déceler les intérêts à l’œuvre derrière les discours…

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Principes fondateurs : Fondée sur des principes solides, Conflits n’est cependant pas une revue destinée aux seuls spécialistes. Nous entendons attirer à la géopolitique non seulement les étudiants, mais aussi le grand public averti. Notre présentation en témoigne, mais aussi l’originalité de beaucoup de nos rubriques : « grande stratégie» qui présente la géopolitique d’un Empire ancien, «géopolitique fiction » qui imagine l’avenir à partir d’un événement possible (pour ce numéro, la tentative d’annexion de Taiwan par la Chine), « tourisme géopolitique» qui présente une grande ville sous l’angle de son rayonnement et de sa puissance, « polémique » qui défend une thèse inattendue voire paradoxale à laquelle nos lecteurs peuvent réagir sur notre site Internet.

Conflits présente ainsi un visage original et attrayant de la géopolitique. Elle entend démontrer que la géopolitique est partout (une rubrique qui apparaîtra dès le numéro 2), que partout le rapport de forces structure l’espace, de la maison familiale à la Lune en passant par les stades comme par les musées. C’est une autre façon de voir le monde que nous proposons à nos lecteurs.

L'équipe de Conflits:

L’équipe des rédacteurs comprend une quinzaine d’auteurs permanents, pour la plupart jeunes enseignants auxquels s’ajoutent des militaires et des cadres d’entreprise. La moyenne d’âge de ce «noyau dur » est de 34 ans. Ils partagent la même conception de la géopolitique et sont en relation permanente. Plusieurs articles sont le fruit d’un véritable travail d’équipe, ainsi la chronologie qui figure au début de la revue.

Conflits fait par ailleurs appel à des spécialistes pour des articles précis et interrogent des personnalités reconnues de la géopolitique.

C’est ainsi qu’interviennent dans le numéro 1 Yves Lacoste, « père de la géopolitique » française, François Godement, spécialiste de la Chine, Pascal Marchand, spécialiste de la Russie, Xavier Raufer, spécialiste de la criminalité internationale, Pascal Lorot qui a popularisé la notion de «géoéconomie » ou Christian Harbulot, créateur de l’Ecole de guerre économique.

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