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du collectif « Touche pas à ma bourse, je la mérite »Attachée de presse : Guilaine Depis / 06 84 36 31 85 / guilaine_depis@yahoo.comDes étudiants méritant aussi de passer de joyeuses fêtesUne attente humiliante et inacceptableUne situation intolérable : l’urgence du versement de la bourse au mérite non respectée (1800€ par an attribués chaque année à près de 8 000 nouveaux bacheliers)Le 17 octobre, le conseil d’Etat a suspendu la circulaire supprimant la bourse au mérite, s’exprimant ainsi : «Le juge des référés a estimé qu’il y avait un doute sérieux sur la légalité de cette partie de la circulaire attaquée et que son exécution, privant des étudiants d’une part substantielle de leurs ressources, créait une situation d’urgence». Le ministre de l’Education s’est donc engagé à la verser pour cette année.Des étudiants inquiets en précarité croissante : un péril imminent sur la poursuite de leurs étudesAujourd’hui, le 11 décembre, la bourse au mérite promise par le ministre de l’Éducation suite à la décision du conseil d’Etat n’a toujours pas été versée, les mettant dans une situation grave et pénible. En effet, cette bourse au mérite ne leur a plus été versée depuis début septembre. C'est à dire que tous ces étudiants attendent environ 800€, ce qui est une somme considérable pour eux.Une pétition transpartisane dont Alain Juppé a été le premier signataire : un engagement fort et emblématiqueAlain Juppé a été le premier signataire le 31 octobre de la pétition pour le maintien de la bourse au mérite.Déjà dans La tentation de Venise (1993), Alain Juppé se désignait lui-même comme « un pur produit de la méritocratie républicaine ».Il justifie notamment sur son blog son soutien fervent actuel : « Il est temps de s’insurger contre la démagogie ambiante qui s’attaque au mérite et confond égalité et égalitarisme. (…) Ce combat touche tous ceux qui se sont élevés en décrochant des diplômes qu’ils ne doivent qu’à leur travail et à leur ténacité. Une société démocratique qui n’encourage pas ses élites intellectuelles est une société qui scie les branches qui la portent.»Une menace qui perdure sur le maintien de la bourse au mériteLa suppression de la bourse au mérite risque alors priver plus de 16 000 jeunes bacheliers et licenciés issus de milieux financièrement défavorisés d’une bourse de 1800€ par an, distribuée selon des critères de mérite.La nécessité d’un appel citoyen pour le maintien dans l’avenir de l’aide au mérite : signer et faire signer la pétitionAprès une mobilisation sans précédent des élus, des étudiants, des citoyens pour le maintien de la bourse au mérite en 2014, l’association « Touche pas à ma bourse, je la mérite » lance une nouvelle pétition pour le maintien de l’aide au mérite pour l’avenir. Celle-ci continue de recevoir chaque jour de nouvelles signatures sur la plateforme citoyenne dédiée à la démocratie en Europe : www.nextbankers.com/petitions/bamSite web : www.touchepasamabourse.e-monsite.comFacebook: www.facebook.com/bourseaumeriteTwitter : @BourseaumeriteAttachée de presse : Guilaine Depis / 06 84 36 31 85 / guilaine_depis@yahoo.com
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La Griotte niçoise ni soumise, magazine en ligne impertinent met à l'honneur l'hommage à Camille Claudel de Sophie Jabès (merci à Sylvie Mahenc le 9 décembre 2014)
Article à consulter ici https://lagriotteanice.wordpress.com/2014/12/08/camille-a-150-ans-aujourdhui/
Camille a 150 ans aujourd’hui
Camille a 78 ans, elle va mourir. Elle rencontre Camille la quadra, juste avant son enfermement en asile psychiatrique, et Camille la jeunette, qui n’est pas encore amoureuse de Rodin. Ces trois Camille sont bien sûr une seule et même personne, Camille Claudel, qui se rencontrent par la magie du théâtre, sous la plume de Sophie Jabès dans Camille, Camille, Camille. La Camille la plus âgée voudrait mettre en garde les plus jeunes contre les dangers qui les attendent. Mais est-ce vraiment possible d’échapper à son destin ? Une pièce et un livre à lire de toute urgence pour honorer l’anniversaire de Camille Claudel aujourd’hui.
Elle était née pour la douceur et la gloire. Elle récoltera les larmes et le sang » (Camille, Camille, Camille, Acte 1, tableau 5)
La pièce de théâtre Camille, Camille, Camille de Sophie Jabès, mise en scène par Marie Montegani était à l’affiche jusqu’à fin novembre au théâtre du Lucernaire à Paris, et sera au Théâtre André-Malraux de Rueil-Malmaison le 15 décembre prochain. Pour ceux qui l’aurait loupée, ou qui l’auraient adorée, le texte intégral est disponible en livre, demandez-le à votre libraire préféré.
- Camille, Camille, Camille de Sophie Jabès, éditions Lansman, collection Théâtre à vif, 10€.
Camille Anastasia Kendall Maria Nicola Claudel (née à Fère-en-Tardenois, dans l’Aisne, le 18 décembre 1864, et morte à Mondevergues, au centre de santé de Montfavet, dans le Vaucluse le 19 octobre 1943) est une sculptrice française sœur du poète et écrivain Paul Claudel. Elle a entretenu une relation passionnelle et tumultueuse avec le sculpteur Auguste Rodin de vingt-quatre ans son aîné. Cet amour impossible, ainsi que son internement psychiatrique en 1913, la murant dans le silence le plus total, lui ont donné une aura égalant son génie.
C’est le moment de revoir le film de 1988 de Bruno Nuytten fort justement baptisé Camille Claudel avec Isabelle Adjani et Gérard Depardieu.
Et puis surtout c’est l’occasion d’aller admirer ses oeuvres un peu partout en France :
Au splendide musée Rodin, Paris
- Une salle lui est consacrée avec une cinquantaine de ses oeuvres
Au Musée d’Orsay, Paris
- L’âge mur (bronze)
- Torse de Clotho (plâtre)
Au Palais des Beaux-Arts, Lille
- Louise Claudel, buste en terre cuite, 45 × 22 × 25 cm, 1885
- Giganti, tête en bronze, 32 × 26 × 27 cm, 1885
Au Musée Sainte-Croix, Poitiers
- Niobide blessée, bronze
- Jeune femme aux yeux clos, buste en terre cuite
Au Musée Dubois-Boucher de Nogent-sur-Seine (Aube)
- Persée et la Gorgogne
À La Piscine, Musée d’art et d’industrie de Roubaix
- La petite Châtelaine, buste de marbre, 1896
Au musée Calvet d’Avignon (Vaucluse)
- Buste de Paul Claudel en jeune romain
Au Musée d’art de Toulon (Var)
- Mon frère en jeune romain (bronze)
Au Musée Albert-André de Bagnols-sur-Cèze (Gard)
- L’Implorante (bronze)
Au musée Bertrand de Châteauroux (Indre)
- Sakountala(statue mutilée en plâtre)
Au Musée Pierre André Benoit d’Alès (Gard)
- Étude pous l’Hamadryade (bronze)
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Le Dauphiné libéré consacre une interview à Sophie Jabès pour le 150ème anniversaire de Camille Claudel (merci à Mireille Martin pour le 8 décembre 2014)
HOMMAGE
Née le 8 décembre 1864, l'artiste mourut à Montfavet après 30 ans d'enfermement.
Cent cinquante ans après sa naissance, la mémoire de Camille Claudel bien vivante
En 30 ans d'internement, Camille Claudel n'a reçu que sept visites de son frère Paul et une visite d'une amie d'enfance.
INTERVIEW DE SOPHIE JABÈS PAR MIREILLE MARTIN
"Camille, je l'entendais…"
La pièce "Camille, Camille, Camille" vient de remporter un beau succès à Paris. Un texte poignant qui fait vivre la femme et l'artiste à trois âges clés. Paru chez Lansman Editeur, il est signé de la romancière Sophie Jabès.
Pourquoi écrire sur Camille Claudel ?
Je n'ai pas vraiment choisi. En visitant une exposition, j'ai découvert des photographies des sculptures de Rodin, des mains d'amants, qui ont fait écho à un roman que je venais de finir. Et mon éditeur m'a dit "Les mains de Rodin, c'est surtout Camille qui les a sculptées". Alors, je me suis intéressée à l'artiste.
Pourquoi le théâtre ?
J'ai hésité au départ et la forme s'est imposée. Camlille, je l'entendais plus qu'autre chose. Et je me suis beaucoup rapprochée du théâtre ces dernières années. Ca devient presque réel.
Vous avez voulu donner la parole à Camille ?
Oui, ce qui l'a perturbée, c'est qu'elle n'a pas pu parler. Elle a quand même été enfermée 30 ans ! Le silence l'a emmurée. Elle est devenue un mythe alors que c'est une personne réelle. Mon sentiment d'écrivain, c'est que ça ne pouvait pas finir comme ça.
Aujourd'hui, peut-on parler d'une réhabilitation ?
Ce qui me frappe, c'est que 150 ans après sa naissance, beaucoup de personnes s'emparent de Camille. Il y a une appropriation, une passion qui se déchaîne mais en même temps, on a eu du mal à monter la pièce.
Sera t-elle jouée à Avignon ?
La compagnie rêve de ça !
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RSVP Conférence de presse pour le lancement d'ABCMer aux Éditions La Découvrance par l'auteur Jean-François Marquet vendredi 12 décembre à 11 h chez Lizette à Nantes
Jean-François Marquet et les Éditions La Découvrance vous invitent à venir assister au lancement du livre
ABCMer (argumentaire en cliquant sur le titre)
de Jean-François Marquet
au bistro Chez Lizette,
1 rue Louis Blanc 44 000 Nantes
vendredi 12 décembre 2014
à 11 heures.
Merci de signaler votre présence et/ou de demander un service de presse à l'attachée de presse de Jean-François Marquet au 06 84 36 31 85 / guilaine_depis@yahoo.com
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Dans le Figaro littéraire, Mohammed Aïssaoui rejoint Philippe Collonge avec les survivants de "La Méduse" (4 décembre 2014)
Le Figaro littéraire du 4 décembre 2014
Mémoires
Le témoignage d'un capitaine rescapé d'un des plus célèbres naufrages.
Un rescapé de "La Méduse" De Daniel Dupont - texte présenté par Philippe Collonge, Éditions La Découvrance, 162 p., 17 €
Avant ou après le fameux tableau de Géricault, des témoignages sur ce qui s'est passé lors du naufrage de La Méduse, il y en eût quelques uns, mais l'histoire de l'édition connaît parfois des miracles. Voici la publication des Mémoires du capitaine Dupont, qui n'avaient fait l'objet que d'une diffusion restreinte en 1903. Le capitaine Daniel Gervais Dupont a de nombreux états de service, mais on notera surtout que le 2 mai 1816, rentré en France, il est rappelé pour servir dans le bataillon de fusiliers du Sénégal et embarqué sur la frégate La Méduse.
Ensuite ?
Après l'échouement de la frégate, le 2 juillet 1816, il fait partie des naufragés qui dérivent pendant douze jours sur un radeau de fortune au large de la Mauritanie. Le 17 juillet, il est recueilli avec quatorze survivants, sur cent cinquante. Il est enterré à Maintenon, dans l'Eure-et-Loir. Ce qu'il raconte dans ses Mémoires est donc un témoignage de première main. On doit ce miracle à Philippe Collonge, bibliophile qui a consacré sa retraite aux livres anciens et aux recherches historiques. Il se trouve qu'il habite à Maintenon et qu'il a été, comme indiqué sur sa notice, "amené à croiser les traces du Capitaine Dupont, un des survivants du radeau de La Méduse, dont il a retrouvé et commenté les Mémoires".
Dans les coulisses d'un fait divers
Dans ces Mémoires, les pages concernant le naufrage ne sont pas les plus nombreuses : quarante, tout de même, après une longue première partie sur sa trajectoire qui démarre par la Guerre en Vendée, en 1792. Cet homme robuste, mort à 75 ans, ce qui est très âgé pour l'époque, chanceux, décrit le drame qui lui arrive avec sécheresse - à la manière d'un militaire. "De l'organisation désastreuse du renflouement de la frégate" aux "journées tragiques se succèdent : faim, soif, délires et actes de désespoir", en passant par "les premières nuits d'horreur sur le radeau et les naufragés abandonnés à leur sort", on se retrouve "embarqué" dans les coulisses de l'un des plus grands faits divers. Cette sécheresse de ton ne fait qu'accentuer l'impression d'horreur. Dans une barque à la dérive, des survivants, au bord de l'épuisement, tentent de profiter de la situation pour voler quelques pièces à d'autres.
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Paul Barthélémy recommande la lecture de la pièce de Sophie Jabès dans Vox Patrimonia n°14 de décembre 2014
Camille Claudel vivante
Un livre et une pièce de théâtre redonnent vie à Camille Claudel, artiste maudite morte dans l'oubli, mais qui, depuis une trentaine d'années, ne cesse de fasciner.
Morte dans l’oubli après trente ans d’internement en asile psychiatrique, il a fallu attendre la fin du XXe siècle pour que Camille Claudel revienne dans la galerie des artistes majeurs du XIXe siècle. L’acharnement de Reine-Marie Paris, sa petite nièce (petite-fille de Paul Claudel), qui a consacré toute son énergie à faire connaître la vie et l’oeuvre de sa grande tante, n’y est pas pour rien. C’est d’un de ses livres qu’a été tiré le film de Bruno Nuytten (Camille Claudel, avec Isabelle Adjani, 1988) qui imposa le personnage auprès du grand public. Quant au marché de l’art, il suit la voie. Le 26 octobre, lors d’une vente aux enchères d’art moderne chez Cornette de Saint Cyr, un marbre daté de 1898-1900, L’Aurore, a été acquis pour la somme de 2,46 millions d’euros. Un record sur le marché français et le deuxième prix sur la scène mondiale pour une oeuvre de Camille Claudel, après le bronze La Valse déjà cité adjugé 6,49millions d’euros chez Sotheby’s Londres en 2013.
Si l’artiste fascine, la femme et son destin tragique ne laissent pas indifférent. Fascinée très tôt par la sculpture, bravant l’opposition de sa mère, Camille Claudel étudia avec Alfred Boucher (1850-1934), puis avec Auguste Rodin qu’elle rencontra en 1882. Ébloui par son génie, Rodin reconnaîtra avoir été influencé par son "élève" . avec qui il créera de nombreuses sculptures, dont Le Baiser. Mais Camille Claudel veut voler de ses propres ailes. Elle quitte Rodin et entame une longue déchéance d’artiste maudit. Le choc de la mort de son père en 1913, qui s’ajoute à la malnutrition et à un alcoolisme chronique, la fait sombrer dans la démence paranoïaque. Elle est internée le 10 mars à l’asile de Ville-Evrard (Seine-Saint-Denis) puis à l’asile d’aliénés de Montdevergues à Montfavet (Vaucluse) où elle finira ses jours en 1943, vraisemblablement morte de faim. Inhumée en présence du seul personnel de l’hôpital, ses restes seront transférés dans le "carré des fous" d’une fosse commune.
150 ans après sa naissance, c’est ce destin tragique que met en scène Sophie Jabès dans sa pièce Camille, Camille, Camille, qui s’est jouée en octobre et novembre derniers au théâtre du Lucernaire à Paris et qui sera produite au théâtre 95 de Cergy-Pontoise et au théâtre André Malraux de Rueil-Malmaison en décembre. C’est un cri en trois temps que poussent trois comédiennes incarnant Camille Claudel à trois époques de sa vie: au seuil de la mort ; quelques jours avant son internement; et à 20 ans, alors qu’élève de Rodin, tout semble lui sourire…
Paul Barthélémy
À lire : Sophie Jabès, Camille, Camille, Camille, Lansman éditeur, 52 p., 10 €.
Sur les prix fous des sculptures de Camille Claudel, un autre article de Valérie Sasportas dans le Figaro le 28 octobre 2014 ici
Un marbre de l'égérie de Rodin, L'Aurore, daté de 1898-1900, a été acquis pour 2,46 millions d'euros chez Cornette de Saint Cyr, lundi 26 octobre. La sculptrice bat son record sur le marché français.
Son estimation n'était pas mentionnée au catalogue mais donnée sur demande: 1,8 à 2 millions d'euros pour le marbre de Camille Claudel (1864-1943), L'Aurore, daté de 1898-1900. Et c'était déjà une estimation haute, de l'avis de connaisseurs. Or la sculpture de l'égérie de Rodin a dépassé les espérances: 2,1 millions prix marteau, 2,46 millions avec les frais, lundi 26 octobre, lors de la vente d'art moderne de Cornette de Saint Cyr dans ses nouveaux locaux à peine inaugurés du 6 avenue Hoche, à Paris.
Un record d'enchères pour la sculptrice sur le marché français et le deuxième plus haut prix sur la scène mondiale, après le bronze La Valse, de 1864 , première version, adjugé 5,12 millions de livres (6,49 millions d'euros) en 2013 chez Sotheby's, à Londres.
«C'était très émouvant lundi soir, se remémore Arnaud Cornette de Saint-Cyr, qui tenait pour cette vente inaugurale le marteau qui lui fut offert à ses débuts par Alain Delon, ami intime de son père, le commissaire-priseur Pierre Cornette de Saint-Cyr. «Ce marbre a été réalisé juste avant que Camille Claudel ne soit enfermée en hôpital psychiatrique en 1913. Et c'est une œuvre d'une force extraordinaire, révélateur des années 1893-1905, quand Camille Claudel se libérait enfin à la fois des tensions dramatiques et réalistes de ses formes, et de l'influence d'Auguste Rodin».
Ce marbre d'une qualité extraordinaire est inédit sur le marché de l'art. Camille Claudel avait donné L'Aurore à sa sœur Louise, épouse de Ferdinand de Massary, puis la sculpture fut conservée durant plus d'un siècle dans la famille jusqu'à ce qu'elle rejoigne une collection particulière. Elle a fait le tour du monde des expositions rendant hommage à l'artiste.
«Nous la connaissions. Mais c'est son propriétaire qui nous a contactés pour la vendre aux enchères», affirme Arnaud Cornette de Saint-Cyr. Pas peu fier: sa maison française a été préférée à une anglo-saxonne qui l'aurait vendue à New York. «Cela a été un rêve. Au même titre que L'Age mûr, et plus “populaire” que mythologique, L'Aurore marque l'achèvement d'un idéal et l'inscription du génie de Camille Claudel au sein de l'histoire de la sculpture occidentale de la fin du XIXe siècle et du début XXe», conclut le commissaire-priseur, qui tient encore le marteau ce mardi soir (19h) et demain, pour la suite des ventes inaugurales, cette fois en art contemporain.