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Philippe COLLONGE

  • Invitation Soirée La Découvrance sur la librairie-péniche L'eau et les rêves jeudi 16 avril à 18h30 - INSCRIPTIONS RECOMMANDÉES

    CE JEUDI 16 AVRIL DÈS 18h30 

    INVITATION RSVP À VENIR DÉCOUVRIR

    À LA PÉNICHE "L'EAU ET LES RÊVES", 3 QUAI DE L'OISE, PARIS 19ème

    (métro Laumière, Ourcq ou Crimée) : 

    LA DÉCOUVRANCEÉDITEUR DE MER ET DE VOYAGES -

    Réservations conseillées par mail auprès de l'attachée de presse pour la

    SOIRÉE AVEC COCKTAIL : guilaine_depis@yahoo.com ou par sms 06 84 36 31 85

    Capture d’écran 2015-04-09 à 16.43.39.png

     

    SOIRÉE DE RENCONTRES AVEC LECTURES APÉRITIVES EN PRÉSENCE DE :

    * Philippe Collonge, qui présentera son livre "Un rescapé de la Méduse, Mémoires du Capitaine Dupont (1775-1850)"

    Catherine Artheix, directrice de la Découvrance;

    * Sandrine Pot, directrice des Arêtes - pour la présentation de la coédition (avec La Découvrance) "Un capitaine de volontaires" de Joaquim Maria Machado de Assis 
     
    Rencontre animée par Guilaine Depis, attachée de presse
     
    Vifs remerciements à Judith Rosa, grâce à qui cette soirée est possible, pour son accueil dans son lieu magnifique
     
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  • Robert Redeker offre dans Marianne un article MAGNIFIQUE à Philippe Collonge pour sa Méduse aux excellentes Éditions de La Découvrance (3 avril 2015)

    Capture d’écran 2015-04-09 à 00.05.34.pngUn aventurier de la "Méduse"

     

    PAR ROBERT REDEKER

     

    Quelle vie d'aventures ! Si Philippe de Broca était encore vivant, Jean-Paul Belmondo encore jeune, ils trouveraient tous deux dans les Mémoires d'un rescapé de la Méduse, le capitaine Dupont, le scénario d'un de ces films trépidants dont ils avaient le séduisant secret. Car ce Daniel Dupont a tout, jusqu'à la banalité de son nom, du héros d'un roman ou d'un cinéma populaire - à ceci près qu'il n'est pas un être de fiction.

    Capture d’écran 2015-04-08 à 23.57.11.pngQu'on en juqe : outre sa survie quasi miraculeuse au naufrage de la Méduse, il fut sauvé in extremis de la noyade au cours d'une opération militaire des armées républicaines, il échappa par chance à un massacre de malades, fut gracié par un sabreur royaliste, s'avança au milieu de la mitraille anglaise sans mourir ni être blessé, garda la vie sauve lors des révoltes de Noirs aux Antilles, à Marie-Galante, à la répression desquelles il participa. A travers ces Mémoires présentés par Philippe Collonge, le lecteur traverse, comme en direct, comme en contact avec un journaliste inséré dans les événements, une période agitée de l'histoire de France.

     

    Dupont, ce soldat de l'an ll qui finit capitaine d'infanterie et chevalier de la Légion d'honneur, qui connaît les armées de l'Empire puis celles de la Restauration, est un homme du peuple né sous l'Ancien Régime

    qui participe à l'accouchement d'un homme nouveau, l'homme moderne. Il appartient à l'ancienne France, dans laquelle il vit le jour, et au monde nouveau, dont Tocqueville sera le prophète, auquel il s'adapte.

    Capture d’écran 2015-04-08 à 23.51.00.pngCapture d’écran 2015-04-08 à 23.51.18.pngAvec lui, comme en présence d'un revenant, nous touchons in vivo à la mentalité populaire d'un homme de l'Ancien Régime précipité dans la naissance des temps nouveaux.

    Aventurier anonyme, le capitaine Dupont est un témoin dont les Mémoires plongent le lecteur dans

    la matière même de l'histoire, son impitoyable chaudron shakespearien où le dramatique se mêle au grotesque. •

     

    Un rescapé de la Méduse. Mémoires du capitaine Dupont, 1775-1850présenté par Philippe CollongeLa Découvrance, 179 p, 17 €

  • Le nouveau magazine "Histoire et civilisations" du Monde a déjà remarqué les Éditions La Découvrance - Merci à Jean-Marc Bastière (20 février 2015)

    Jean-Marc Bastière a remarqué le livre de Philippe Collonge dans Histoire et Civilisations du 20 février 2015

    Capture d’écran 2015-04-09 à 12.07.48.png

    Chacun connaît Le Radeau de la Méduse, le tableau de Géricault inspiré de la dramatique histoire de ces hommes en dérive durant douze jours. Sur cent cinquante, ne resteront que quinze survivants. Parmi eux, le capitaine Dupont, dont voici les mémoires inédits.

    Un rescapé de la Méduse : Mémoires du Capitaine Dupont 1775-1850 de Philippe Collonge (présentation) La Découvrance 162 p., 17 €
    Capture d’écran 2015-04-09 à 12.06.41.png

     

  • Deux auteurs des Éditions de La Découvrance à l'honneur dans CHASSE-MARÉE (Jean-François Marquet et Philippe Collonge) de Février 2015

    Capture d’écran 2015-01-21 à 17.28.30.pngChasse-Marée février 2015 

    n°265

    Par X.M.

    Capture d’écran 2015-01-21 à 17.25.19.pngLivres

    Quand les marins mettent sac à terre

    Issu d'une émission éponyme de Radio France produite par Jean-François Marquet, cet ABCMer, plaisamment illustré par le dessinateur Sébastien Léger, est un manuel aussi insolite que savoureux. Tout le monde connaît les mots qui y sont étudiés, car s'ils sont souvent nés sur l'eau, ils ont mis sac à terre en passant dans le langage courant. Ce faisant, ils ont changé de sens et il faut déployer des trésors d'étymologie - science approximative s'il en est - pour remonter aux origines. Ainsi le patachon doit-il son nom au cocher, réputé franc-buveur, des pataches, ces diligences qui sillonnent tous les romans de La Comédie humaine ; mais avant cela, le terme fut le sobriquet attribué aux pilotes des pataches, petits bâtiments de la douane. Comme le patachon, le lascar - selon Littré, "un matelot indien issu de la classe des parias" - peut prendre une biture, mais en tout bien tout honneur, car en parler matelot cela signifie disposer une longueur de chaîne en zigzag sur le pont avant de mouiller l'ancre. Allez ! un dernier mot, pour la route : selon Jean-François Marquet, corbillards pourrait venir de corbillat, terme désignant le coche d'eau qui assurait le service entre Paris et Corbeil ; cette embarcation aurait charrié quantité de cadavres lors d'une épidémie dans la région de Corbeil. X.M.

    ABCMer de Jean-François Marquet, illustré par Sébastien Léger, Éd. La Découvrance, 92 p., 11 €

    Capture d’écran 2015-01-21 à 17.25.30.pngNous avons aussi reçu :

    * Un rescapé de "La Méduse" : mémoires du capitaine Dupont, 1775-1850, manuscrit original de Daniel Dupont présenté par Philippe Collonge. Éd. La Découvrance, 170 p., 17 €

     

  • Dans le Figaro littéraire, Mohammed Aïssaoui rejoint Philippe Collonge avec les survivants de "La Méduse" (4 décembre 2014)

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    Le Figaro littéraire du 4 décembre 2014

     

    Mémoires

    Capture d’écran 2015-01-21 à 17.46.40.pngAVT_Mohammed-Aissaoui_9737.jpegLe témoignage d'un capitaine rescapé d'un des plus célèbres naufrages.

    Un rescapé de "La Méduse" De Daniel Dupont - texte présenté par Philippe Collonge, Éditions La Découvrance, 162 p., 17 €

    Capture d’écran 2015-01-21 à 17.46.03.pngAvant ou après le fameux tableau de Géricault, des témoignages sur ce qui s'est passé lors du naufrage de La Méduse, il y en eût quelques uns, mais l'histoire de l'édition connaît parfois des miracles. Voici la publication des Mémoires du capitaine Dupont, qui n'avaient fait l'objet que d'une diffusion restreinte en 1903. Le capitaine Daniel Gervais Dupont a de nombreux états de service, mais on notera surtout que le 2 mai 1816, rentré en France, il est rappelé pour servir dans le bataillon de fusiliers du Sénégal et embarqué sur la frégate La Méduse.

    Ensuite ?

    Après l'échouement de la frégate, le 2 juillet 1816, il fait partie des naufragés qui dérivent pendant douze jours sur un radeau de fortune au large de la Mauritanie. Le 17 juillet, il est recueilli avec quatorze survivants, sur cent cinquante. Il est enterré à Maintenon, dans l'Eure-et-Loir. Ce qu'il raconte dans ses Mémoires est donc un témoignage de première main. On doit ce miracle à Philippe Collonge, bibliophile qui a consacré sa retraite aux livres anciens et aux recherches historiques. Il se trouve qu'il habite à Maintenon et qu'il a été, comme indiqué sur sa notice, "amené à croiser les traces du Capitaine Dupont, un des survivants du radeau de La Méduse, dont il a retrouvé et commenté les Mémoires".

    Dans les coulisses d'un fait divers

    Dans ces Mémoires, les pages concernant le naufrage ne sont pas les plus nombreuses : quarante, tout de même, après une longue première partie sur sa trajectoire qui démarre par la Guerre en Vendée, en 1792. Cet homme robuste, mort à 75 ans, ce qui est très âgé pour l'époque, chanceux, décrit le drame qui lui arrive avec sécheresse - à la manière d'un militaire. "De l'organisation désastreuse du renflouement de la frégate" aux "journées tragiques se succèdent : faim, soif, délires et actes de désespoir", en passant par "les premières nuits d'horreur sur le radeau et les naufragés abandonnés à leur sort", on se retrouve "embarqué" dans les coulisses de l'un des plus grands faits divers. Cette sécheresse de ton ne fait qu'accentuer l'impression d'horreur. Dans une barque à la dérive, des survivants, au bord de l'épuisement, tentent de profiter de la situation pour voler quelques pièces à d'autres.

    Capture d’écran 2015-01-21 à 17.51.22.png

  • TÉMOIGNAGE INÉDIT !!! "Un rescapé de La Méduse : mémoires du capitaine Dupont, 1775-1850" - Manuscrit original de Daniel Dupont présenté et commenté par Philippe Collonge - NOUVEAUTÉ HIVER 2014-2015 aux Éditions La Découvrance

    UN MANUSCRIT INÉDIT aux Éditions La Découvrance

     

    Un rescapé de La Méduse :

    mémoires du capitaine Dupont, 1775 – 1850

    Manuscrit original de Daniel Dupont

    présenté et commenté par Philippe Collonge

     

    Lire la Présentation de Philippe Collonge ICI, un extrait de la première partie ICI et un extrait de la deuxième partie ICI

     

    meduse1.jpgParution novembre 2014

     

    Attachée de presse : Guilaine Depis

    Tél :  06 84 36 31 85 - Courriel : guilaine_depis@yahoo.com

     

    • Un film intitulé La machine – nom attribué par les rescapés de la Méduse – est programmé sur ARTE cette fin d’année 2014.

    • Juillet 2016 : bicentenaire de l’échouement de la Méduse.

     

    Collection : Document

    Format : 15 x 21

    Nombre de pages : 162, texte

    Illustrations : 17 pages N & B

    Prix TTC : 17 euros

    Date de parution : novembre 2014

    ISBN 13 : 978-2-84265-834-2

    Thème CLIL : 3388 - 3389

    Rayon librairie : Histoire (Révolution, Restauration), histoire maritime

     

    Le livre

    Capitaine de l’armée française, le capitaine Daniel Dupont embarque à bord de la frégate La Méduse afin de participer à la réorganisation de la colonie française du Sénégal.

    Le commandement du navire est confié à un marin de peu d’expérience : Hugues Duroy de Chaumarey.

    Celui-ci, malgré les avis de marins confirmés va multiplier les erreurs de navigation, et, dans la nuit du 2 au 3 juillet 1816, échoue la frégate sur un banc de sable au large du Sénégal.

     

    La Méduse transporte plus de quatre cents hommes, mais ne dispose que de six canots de sauvetage. Après quelques tentatives infructueuses pour dégager le navire, le 5 juillet, les officiers donnent l’ordre d’évacuation.

    Les gradés s’installent dans les canots, mais les marins et soldats en surnombre (cent cinquante) sont entassés sur un radeau mal construit et abandonnés en pleine mer.

     

    meduse2.jpgDurant douze jours, le radeau va dériver au gré des flots. Sans nourriture ni eau potable, de l’eau jusqu’aux genoux, les passagers sont contraints à des actes ignobles. Certains iront même jusqu’à manger la chair de leurs camarades et à boire leur urine. "Le 7, je repris connaissance et en ouvrant les yeux j’aperçus un matelot qui me coupait le pied. Je n’avais pas la force de le retirer, cependant je lui demandais ce qu’il faisait… Je m’aperçus que le malheureux avait perdu la tête." (Extrait des carnets du capitaine Dupont).

     

    Les officiers présents tentèrent d’empêcher le massacre, en vain.

    Quinze hommes sur un radeau… c’est ce que découvre, dans la matinée du 17 juillet 1816, le brick L’Argus, au large des côtes de la Mauritanie. Parmi eux, Daniel Dupont, un capitaine d’infanterie sorti du rang ; il est à la fois le plus élevé en grade et en âge des survivants du radeau de La Méduse…

    Plusieurs rescapés publieront le récit de ce drame au retentissement considérable.

    Daniel Dupont se contentera, à la fin de sa vie, de rédiger ses Mémoires à l’intention de sa famille.

    S’il ne dit peut-être pas tout, par pudeur sans doute, tout ce qu’il dit porte l’accent de la sincérité. Ses écrits retracent vingt-cinq années d’une carrière militaire originale qui, de la Révolution à la Restauration, passe par la Vendée, les Antilles, l’Angleterre

    et le Sénégal.

     

    Philippe Collonge, passionné d’histoire, a retrouvé les manuscrits originaux détenus par les descendants du capitaine Dupont. Ces Mémoires, soigneusement étudiés et documentés, apportent à un large public le témoignage authentique d’un héros involontaire et modeste.

     

    PORTRAIT COLLONGE PH  082-2.jpgL’auteur : Philippe Collonge qui présente et commente le manuscrit original du Capitaine Dupont

    Né au Maroc en 1941, Philippe Collonge a toujours travaillé au sein du Groupe Air France dont il a été chef des Ventes pendant plusieurs années. Après différentes expériences dans des filiales du Groupe (Hôtels Méridien, Visit France, Jet Tours) il a terminé sa carrière comme directeur général de GO VOYAGES. En 1998, jeune retraité, il décide d’ouvrir une boutique de livres anciens qu’il va animer pendant quelques années avant de consacrer l’essentiel de son temps à des recherches historiques. Il s’attache à faire revivre des épisodes et des personnages de la petite histoire au travers de publications et de conférences régionales. Des Antilles au Sénégal, où il a vécu plusieurs années, en passant par la petite ville de Maintenon (28) où il réside

    désormais, ses nombreux déplacements l’ont amené à croiser les traces du capitaine Dupont, un des dix survivants du radeau de La Méduse, dont il a retrouvé et commenté les Mémoires.

     

    À propos du capitaine Daniel Dupont :

    Né à Pierres – mort à Maintenon (Eure-et-Loir). En 1848, à soixante-treize ans, il devint maire adjoint de Maintenon.

    Il mourut deux ans plus tard. Une rue de la ville porte son nom et une plaque commémorative est apposée sur sa maison, au 4, rue Saint-Pierre.

     

    Capture d’écran 2014-11-18 à 23.00.56.png

    Quatrième de couverture

    Quinze hommes sur un radeau… c'est ce que découvre, dans la matinée du 17 juillet 1816, le brick L'Argus, au large des côtes de la Mauritanie. Parmi eux, Daniel Dupont, un capitaine d'infanterie sorti du rang ; il est à la fois le plus élevé en grade et en âge des survivants du radeau de La Méduse...

     

    Plusieurs rescapés publieront le récit de ce drame au retentissement considérable. Daniel Dupont se contentera, à la fin de sa vie, de rédiger ses Mémoires à l'intention de sa famille. S'il ne dit peut-être pas tout, par pudeur sans doute, tout ce qu'il dit porte l'accent de la sincérité.

     

    Philippe Collonge, passionné d'histoire, a retrouvé les manuscrits originaux détenus par les descendants du capitaine Dupont (né à Pierres et décédé à Maintenon, Eure-et-Loir). Ils retracent vingt-cinq années d'une carrière militaire originale qui, de la Révolution à la Restauration, passe par la Vendée, les Antilles, l'Angleterre et le Sénégal. Ces Mémoires, soigneusement étudiés et documentés, apportent à un large public le témoignage authentique d'un héros involontaire et modeste.

     

    Sommaire

    Présentation des Mémoires par Philippe Collonge

    Remerciements

    États de services et campagnes du capitaine Dupont

     

    Première partie (1792 - 1815)

    I. La guerre en Vendée (1792 - 1794)

    II. Campagnes aux Antilles : Guadeloupe, Saint-Eustache et Marie-Galante (1795 - 1800)

    III. Dupont officier. — Révolte des Noirs. — Expédition en Colombie. — Séjour dans l’île de Saint-Martin et garnisons en Guadeloupe (1801 - 1809)

    IV. Guerre contre les Anglais. — Dupont se distingue au combat. — Capitulation des Antilles et captivité en Angleterre (1810 – 1814)

    V. Retour émouvant à Maintenon après vingt-deux ans d’absence (1814)

    VI. Nouvelle campagne aux Antilles. — Offensive des Anglais pendant les Cent- Jours. — De retour à Maintenon, Dupont reçoit l’ordre de partir pour le Sénégal (1814 - 1816)

     

    Seconde partie (1816 - 1818) — Voyage en Afrique par terre et par mer en 1816

    I. La Méduse fait voile pour le Sénégal : la frégate isolée s’échoue sur le banc d’Arguant (2 juillet 1816)

    II. Organisation désastreuse du renflouement de La Méduse et du sauvetage de ses passagers (2 – 5 juillet)

    III. Premières nuits d’horreur sur le radeau pour les naufragés abandonnés à leur sort (5 – 7 juillet)

    IV. Les journées tragiques se succèdent : faim, soif, délires et actes de désespoir (8 – 13 juillet)

    V. Derniers jours d’angoisses et de souffrances : quinze survivants recueillis par le brick L’Argus (14 - 17 juillet)

    VI. Du Sénégal… à Maintenon (juillet 1816 – février 1818)

     

     Épilogue :

    Que devinrent Daniel Dupont et les principaux acteurs de cette tragique aventure ?

    Géricault et son Radeau de La Méduse.

     

     Annexes :

    I. La Vendée en 1793

    II. Situation des Antilles à la fin du XVIIIe siècle

    III. Description par Daniel Dupont de la région du Cap-Vert en 1816

     

    IV. À la recherche de La Méduse