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Guilaine Depis - Page 32

  • Invitation à la conférence de presse (11h30), aux discours d'inauguration (12h) et au cocktail "au carrefour des cultures" (13h) du 15ème Salon Culture et Jeux Mathématiques, Place Saint-Sulpice vendredi 23 mai dès 11h (accueil des journalistes)

    afficheA4 - copie.jpgINVITATION VENDREDI 23 MAI 2014 À LA CONFÉRENCE DE PRESSE SUIVIE D'UN COCKTAIL "AU CARREFOUR DES CULTURES" POUR L'INAUGURATION DU 15ème SALON CULTURE ET JEUX MATHÉMATIQUES PLACE SAINT-SULPICE (Paris 6ème)

    MERCI à toutes les personnes intéressées pour participer à cette inauguration de signaler sa présence en envoyant un mail à guilaine_depis@yahoo.com ou par un sms au 06 84 36 31 85 (noms, prénoms, nom du média)

    Les journalistes souhaitant interviewer les personnalités présentes (Ahmed DjebbarMarie-José PestelClaudie Haigneré...) sont invités à prendre à l'avance contact avec la même attachée de presse par mail, sms ou téléphone 06 84 36 31 85.

    Rendez-vous à l'Espace Spectacles et Rencontres (Place Saint-Sulpice, Paris 6ème) dès 11h pour la presse.

    Le programme se déroulera comme suit :

    11 h : accueil des journalistes pour interviews

    11h30 : conférence de presse

    12h : discours d’inauguration (invitation pour tous RSVP de la part de Anne Hidalgo, Maire de Paris, Marie-Christine Lemardeley, Adjointe au Maire de Paris, à l'enseignement supérieur, la recherche et la vie étudiante, Marie-José Pestel, Présidente du Comité International des Jeux Mathématiques sous le parrainage d'Ahmed Djebbar, Professeur émérite à l'Université de Lille)

    12h30 : découverte des stands du salon

    13h : cocktail « au carrefour des cultures »

    Carton d'invitation à télécharger :

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  • Actukids se réjouit de la naissance de Tip Tongue chez Syros (21 mai 2014)

    Capture d’écran 2014-06-02 à 15.47.20.pngACTUKIDS

    ÉDITION

    L'éditeur jeunesse Syros se diversifie avec une première collection de livres bilingues.

    La maison d'édition jeunesse Syros lance Tip Tongue, une première collection d'ouvrages bilingues français-anglais destinée aux enfants à partir de 10 ans et présentant un concept innovant.

    La collection est dans un premier temps composée de 4 romans à suspens qui démarrent en français, puis passent, de manière progressive, en anglais. Les deux langues sont mêlées, sans traduction de l'une à l'autre, mais les personnages sont là pour aider le lecteur à comprendre les parties en anglais. Déclinée en deux niveaux, dès 10 ans ou dès 12 ans, la collection propose également une version audio de chaque roman, téléchargeable gratuitement. Un site pédagogique a été mis en ligne, permettant aux jeunes lecteurs de retrouver des lexiques illustrés, des jeux ou encore des contenus inédits en lien avec les romans. À travers ce nouveau lancement, les éditions Syros élargissent leur offre tout en diversifiant leur activité dans le domaine de la littérature jeunesse, estimant qu'il y a une vraie demande sur ce créneau.

    Créée en 1972, la maison d'édition Syros devient Syros Jeunesse en 1984. Au fil du temps, elle fusionne avec d'autres petits éditeurs (Alternatives, Les Éditions de l'Atelier, La Découverte…), avant d'être rachetée par Vivendi en 1998 et d'être intégrée baux Éditions Nathan Editis en 2002. En 2005, le fonds Syros adulte est repris sous la marque La Découverte et Syros Jeunesse devient Syros, maison d'édition entièrement dédiée aux livres pour la jeunesse.

  • Quelques photos souvenirs du dîner Mille-Feuilles du 20 mai 2014 - Merci à Frédéric Fredj de nous avoir reçus !

    Un dîner inoubliable en guise d'amuse-bouche au 15ème Salon Culture et Jeux Mathématiques qui se déroulera du 22 au 25 mai 2014 Place Saint-Sulpice avec :

    Michèle AUDINmathématicienne, historienne et écrivain (membre de l'OuLiPo), 
fille du mathématicien Maurice Audin (mort sous la torture en Algérie en 1957), pour :
Une vie brève, récit, Gallimard, 2013, et
 Cent vingt et un jours, roman, Gallimard, 2014,

    Stella BARUK, professeur de mathématiques, chercheuse en pédagogie
des mathématiques, écrivain, pour :
 Naître en français, texte autobiographique, Gallimard,‎ 2006, et
 Mes premières mathématiques, méthode pour le CP, Magnard, 2012, 

     et Hervé LEHNING, professeur de mathématiques, écrivain, rédacteur en chef
du magazine bimestriel Tangente (consacré aux mathématiques), pour :
 L'Univers des codes secrets – De l'Antiquité à Internet, Ixelles, 2012,
et L'Univers des nombres – De l'Antiquité à Internet, Ixelles, 2013.

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  • Les Échos recommandent "Les Jeux de l'art et de l'argent" de Marie-Hélène Grinfeder : un très bel article de Pascal Ordonneau dans Le Cercle + (20 mai 2014)

    Le marché de l'art entre jeux dangereux et grands prédateurs par Pascal Ordonneau

    LE CERCLE. Chronique du livre de Marie-Hélène Grinfeder : "Les jeux de l’art et de l’argent" aux Editions France-Empire. La réalité dépasse la fiction dit-on. Pour tout ce qui touche au marché de l'art, réalité et fiction se donnent la main et avancent de concert. Les prix sont inimaginables sur le marché de l'art? Les requins à vendre sont de vrais œuvres? Beaucoup d'argent, ce serait beaucoup de passion.

    Marie-Hélène Grinfeder: "Les jeux de l’art et de l’argent"
    Marie-Hélène Grinfeder: "Les jeux de l’art et de l’argent"
    J’ai chroniqué dans les colonnes des Echos.fr des livres sur l’art, sur son marché, les étonnements qu’il suscite, les ambitions et les monceaux d’argent qui s’y déversent. Parmi ces livres, il y a eu de véritables sommes, je pense au «marché de l’Art à Naples aux XVIème et XVIIème siècles». D’autres, plus journalistiques mais pas moins passionnants, interrogeaient le marché de l’art contemporain : "le requin qui valait 10 millions de dollars"en fait partie, à l’opposé, dans un style et un propos plus sévères, j’avais aimé « Recherches et réflexions sur l'Economie du Patrimoine culturel » qui présente une réflexion générale sur une question compliquée : l’Art et l’Etat. Cette fois-ci, c’est un roman « les jeux de l’art et de l’argent » qui m’a captivé.

    Documentaire, roman, livre de souvenirs, il est un peu tout ça et davantage encore, sous le couvert d’une intrigue policière, cet ouvrage, comme l’ont montré les livres cités, évoque les méandres d’un marché aux antipodes de toutes les théories, classique ou marginaliste. Amoureux des marchés pures et parfaits, défenseurs de la transparence cristalline et de la gouvernance éthique, s’abstenir ! Si le livre de Marie-Hélène Grinfeder est prenant, il le doit à la mise à nu des ressorts parfois étrange de ce marché, univers des passions artistiques les plus absolues et marigot où croisent d’étranges animaux, les crocodiles et les serpents n’étant pas nécessairement les plus dangereux.

    Marie-Hélène Grinfeder est à son aise dans cet univers: historienne de l’art et expert en art du XXIème siècle et en art contemporain, membre de l’Association Internationale des Critiques d’Art, elle a déjà publié Adam et Ève, illustré Louis Cane (Éditions MHG) ; Des voluptés, Brève histoire de l’art de cinq siècles de peinture française (AFAA, Ministère des Affaires étrangères) et Les années supports surfaces (Éditions Herscher, 1991). Ce n’est donc pas tout à fait un roman, même si l’histoire est romanesque. Mais le marché de l’art est si animé ! Et l’argent y est si présent !

    Tess de Bellac, l’héroïne de cette histoire, est justement expert en art contemporain, réputée pour une forme d’inflexibilité qui signifie un dégoût prononcé pour les combines et les complaisances. Il est si facile quand on est « considérée » de déraper un peu et de faire taire ses doutes sur une signature, une date, un auteur. C’est justement là que l’histoire va se nouer. Tess a-t-elle été manipulée ? Aurait-elle dû s’écouter davantage et refuser son « imprimatur » aux tableaux « exceptionnels » objets d’une vente dont on attend qu’elle soit millionnaire en euros.

    Le roman va tanguer entre faux, signatures contrefaites, techniques d’analyse… entre voyous et dangereux « tricheurs ». L’argent rend fou et l’art, à certains degrés, c’est de l’or pur, débarrassé de toute gangue. « L’art sans l’argent, c’est le rêve sans l’adrénaline » glisse un collectionneur dans l’oreille de Tess au tout début du roman quand est retombé le marteau du commissaire-priseur sur une enchère gagnante de 10 000 000 de dollars, un veau de 18 mois conservé dans un aquarium de formol, les cornes dorées à l’or fin.

    Il va aussi se mouvoir entre meurtres et enquête policières, entre Paris, Londres, New-York et Moscou, entre grands restaurants et grands hôtels. L’affaire (le Roman) est bien menée. On n’en dira pas davantage sur une intrigue bien ficelée et dont la chute, comme il se doit, n’est pas tout à fait ce qu’on attendait. Le mot de la fin ? « Je vends le vent, je vends le rêve. C’est ça, la valeur sûre. »

    A lire pour le plaisir et pour en apprendre encore davantage sur cet univers où le veau d’or a toujours ses cohortes d’adorateurs.

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  • "Les chroniques d'Injambakkam" de Christian Ehrhart (nouveauté 2014), un hymne à la vie

    couvehrhart1.pngLes chroniques d'Injambakkam

    Parcours d'un résilient

    de Christian Ehrhart

    Bloggingbooks (nouveauté 2014)

    ISBN 978-3-8417-7276-3

    46,80 €

    Attachée de presse :

    Guilaine Depis 06 84 36 31 85

    guilaine_depis@yahoo.com

    C’est le printemps, vive la vie !!! p 29

    Plouf et à demain peut-être. p 120

    Les chroniques d’Injambakkam, c’est le destin hors du commun du blog tenu par un homme qui ne l’est pas moins. La singularité de ce livre est grande, puisqu’il a été écrit sans être destiné à en devenir un, simplement par appétit de l’humain, par goût des rencontres, par curiosité de la lecture des autres.

    C’est l’histoire d’un conte de fée pas comme les autres.

    IMG_2249.JPGChristian Ehrhart aime passionnément la vie et est aimé de sa famille.

    Tout lui réussit, excepté sa santé, fragile…

    Ses pépins de santé, il a décidé d’en faire fi, de l’apprivoiser puisqu’il n’a pas le choix et de vivre avec.

    Luttant sans relâche et sans concession contre la maladie et la mort, Christian Ehrhart est la personne la plus vivante qui soit.

    Trouvant une clarté sur le chemin de l’écriture, il y a vu un accès aux autres.

    Ayant eu une opportunité pour partir s’établir en Inde, il se considère chanceux de vivre une expérience insolite. Il dépeint des gens chaleureux, attentionnés, s’étonne et s’émerveille de chaque étrangeté.

    IMG00419-20120805-1844.jpgInjambakkam est dans la banlieue chic de Chennai, c’est là que vivent les stars du cinéma tamoul. À mi-chemin entre le Golfe du Bengale et un temple de méditation, bercé alternativement par le bruit des vagues et les chants religieux, c’est un lieu où l’incertitude se fond dans la paix.

    À travers son regard fin, amusé, critique et même polémique parfois sur l’actualité, il montre au monde qu’il devra encore compter avec lui longtemps.

    Un livre-témoignage courage, jamais dans la plainte, qui donne une leçon de sagesse et de l’avenir à la vie. En outre, comme il s’agit d’un journal – pas du tout intime -
    Les chroniques d’Injambakkam permettent de revisiter l’actualité des années récentes.

    Vivre, c’est résister, nous dit-il. C’est aimer et être aimé.

    Des milliers d’internautes ont déjà croisé sa route, bouleversés et conquis.

    Ils ont permis par leur engouement de galvaniser l’écrivain et de rendre la publication possible.

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    Quatrième de couverture : Montez dans le rickshaw pour parcourir lentement et sans confort mes aventures et mésaventures. Vous n’éviterez pas les ornières, il n’y a pas d’amortisseurs. Le klaxon vous assourdira. Votre avancée au fil des chroniques sera lente et chaotique. C’est le meilleur moyen de transport pour les parcourir. De cancer en rémission, de questions scientifiques en instantanés monochromes, sur fond de littérature et de musique, vous atterrirez dans un Tamil Nadu en pleine explosion économique. Comme à Chennai si vous n’êtes pas indien, le prix sera exorbitant mais souvent négociable. Cinq ans de tranche de vie d’un résilient à la curiosité inassouvie. Ces chroniques sont issues du blog que je tiens depuis le début de mes expatriations et surtout depuis la fin de ma vie tranquille de cadre supérieur banlieusard.

     

    IMG_0486.JPGL’auteur : Christian Ehrhart, le magicien plus fort que le cancer. Enfant du Baby boom, il a grandi près de Paris à Antony. Avec ses deux frères et sa sœur. Deuxième de ma fratrie, il a aimé et pratiqué très tôt la musique, la flute puis le violoncelle, sans grand succès enfin la guitare basse puis la guitare qui ne devait plus le quitter. Il pris part à l’explosion créative parisienne de la fin des années 70, la vague punk d’abord, puis la nouvelle vague (Bill Baxter plutôt connu, les Costards plutôt connus, Bikini, très underground puis Miss Purdey, encore plus underground). Après une dizaine d’année de navigation dans le milieu de la musique et son premier cancer, il renoue avec les études et devient informaticien, cadre dans l’industrie, tout en fondant une famille avec trois enfants.

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    En 2008, il crée CE Conseil, qui lui permet d’exercer son métier de logistique et de conseil comme il pratique la musique ou le sport, en dilettante passionné. Jusqu’en 2009, où commence son roman et un nouveau cancer, la suite est dans le livre, à lire comme un roman.

     

     

  • SCOOP : Neuf mois après la parution de la biographie de Marilyn Monroe par Claude Delay chez Fayard (dans laquelle le meurtre est pressenti), Atlantico admet que Bobby Kennedy aurait fait assassiner Marilyn Monroe (17 mai 2014)

    couvdelay.jpgL'écrivain Claude Delay l'avait déjà évoqué dans son livre (Fayard) Marilyn Monroe, la cicatrice

     

    Bobby Kennedy aurait fait assassiner Marilyn Monroe

    C’est ce qu’affirment les éminents journalistes d'investigation Jay Margolis et Richard Buskin dans leur livre "Le meurtre de Marilyn Monroe : dossier classé".

    Capture d’écran 2014-06-22 à 22.29.39.pngC’est une information qui fait l’effet d’une bombe. Un scoop qui devrait agiter le monde peopolo-médiatico-politique aux Etats-Unis. Bobby Kennedy, le frère du président des Etats-Unis, aurait fait assassiner Marilyn Monroe ! C’est en tout cas ce que certifient les éminents journalistes d'investigation Jay Margolis et Richard Buskin dans leur livre "Le meurtre de Marilyn Monroe : dossier classé"  dont le Daily Mail a publié les bonnes feuilles ce vendredi. 

    Si la version officielle de son décès est le suicide, ces journalistes, connus pour leur grande carrière, indiquent donc qu’il n’en rien. En effet, selon eux la comédienne en savait trop sur les secrets de famille des Kennedy et il fallait donc la tuer. Dès lors Jay Margolis et Richard Buskin en sont persuadés : c’est Bobby Kennedy lui-même qui aurait ordonné la mort de Marilyn par injection létale. Il aurait été aidé dans sa démarche par le propre psychiatre de la comédienne qui lui aurait lui-même administré une dose de barbituriques.

    "C’est la chose la plus folle que Bobby ait faite. Il était déterminé à la faire. Et j’ai moi-même été assez fou pour le laisser faire", témoigne dans le livre Peter Lawford, le beau-frère de Marilyn. Toujours selon cette œuvre, Bobby Kennedy a agi de la sorte car il estimait que Marilyn était sur le point de faire des révélations  au grand public au sujet de sa famille et notamment de son frère, le président John Fitzgerald Kennedy.

     

    Autre scoop révélé par les deux journalistes, Bobby Kennedy, parti rencontrer Marilyn Monroe avec pour mission de mettre fin à sa relation avec JFK, aurait en réalité succombé aux charmes de la comédienne et serait devenu son amant. "Ce n'était pas l'intention de Bobby, mais ce soir ils sont devenus amants et il a passé la nuit dans la chambre d'hôtel", assure des années plus tard Peter Lawford dans le livre. "Presque aussitôt leur histoire est devenue sérieuse et ils ont commencé à se voir énormément",  poursuit le beau-frère de John Fitzgerald Kennedy. Celle-ci était follement amoureuse de Bobby, qui avait promis de l'épouser et de divorcer de sa femme. 

    Capture d’écran 2014-06-22 à 22.30.04.pngEt Peter Lawford de certifier que "quand Bobby a commencé à s'éloigner, Marilyn l’a menacé de révéler ses relations avec John et lui ainsi que tout ce qu’elle savait sur les Kennedy car elle avait pris le soin de tout écrire dans un petit carnet rouge". Une menace qui lui aurait donc été fatale.