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Guilaine Depis - Page 23

  • Emmanuel Davidenkoff, spécialiste de l'Éducation, reçoit Stéphanie Benson, auteur de la collection Tip Tongue aux Éditions Syros sur France info (diffusion le 2 juillet 2014)

    164786926.jpegSpécialiste de l'éducation, Emmanuel Davidenkoff est directeur de la rédaction de l'Etudiant. Il est également auteur de nombreux ouvrages sur la question. Il a reçu Stéphanie Benson, auteur des quatre premiers romans jeunesse de la nouvelle collection Tip Tongue lancée par les Éditions Syros le 26 juin 2014, émission "Chronique d'éducation" diffusée sur France Infos le 2 juillet 2014.

    Podcast à réécouter ici 

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  • Carto de juillet-août 2014 recense la revue "Conflits" comme lecture incontournable de l'été 2014 (1er juillet 2014)

    "Eurasie : le grand dessein de Poutine"

    Conflits, n°1, avril-mai-juin 2014

    Voici une nouvelle venue sur la planète géopolitique. Conflits a pour ambition d'analyser "le véritable sujet d'étude de la géopolitique", soit "l'antagonisme sous toutes ses formes", selon l'éditorial. Dans ce premier numéro, l'Eurasie est à l'honneur, en décrivant les ambitions russes, notamment en Arménie et en Ukraine. En dehors du dossier central, on retrouve des entretiens, des analyses d'enjeux globaux et des retours sur de grandes batailles. Quelques cartes en couleur illustrent les articles.

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  • Nice Matin repère comme idée vacances Tip Tongue dans son blog (30 juin 2014)

    Idée vacances : faire lire du polar en anglais à ses ados...

    Pt-couv-peterOn reparle des éditions Syros, après le très bon Doglands, mais cette fois pour bien autre chose. En effet dans la collection Tip Tongue, Syros édite des petits polars à destination des ados.. en anglais. Enfin pas complètement en anglais, faut pas non plus les brusquer nos petits chéris. Non, les romans commencent en français et incluent ici et là une phrase simple, un mot qui tombe sous le sens. Stéphanie Benson, forte de cette double culture, parvient à saisir l'attention de ce public ô combien difficile des ados, voire pré-ado. Pour le titre (parmi les quatre parus) qu'il m'a été donné de lire, le pari est plutôt parfaitement réussi.

    Peter et le mystère du headless man est l'histoire d'un Français qui part en vacances chez sa tante anglaise. Une histoire de maison hantée, de parties de pêche, de bossu... plus tard, le livre enquille des paragraphes entiers en anglais, des dialogues, le français fait juste le lien, permet une respiration au jeune lecteur. Puis les dix dernières pages sont totalement dans la langue de Ken Bruen et finalement, l'ado bien accroché à l'intrigue se voit quasiment forcé de tout lire, de se forcer, s'il le faut, à comprendre ses mots pour en saisir la fin.

    C'est plutôt très malin, parfaitement pédagogique et vraiment pas cher. Alors cet été, chers parents, pendant que vous dévorerez l'oeuvre de Jim Thompson, votre progéniture aura de quoi s'occuper.

    Deux titres pour les 10-11 ans, Tom et le secret du haunted castle / Hannah et le trésor du dangerous elf. Deux titres pour les 12-13 ans, Peter et le mystére du headless man / Lilith et la vengeance du dark magician. Ed. Syros. Environ 100 pages. 6, 95 euros.

  • Emmanuel Bing critique "Nouvelles bartlebyennes" pour le site Écrits-Vains (29 juin 2014)

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    J'aimerais mieux pas

     

    Voici un petit livre étrange, reçu il y a quelques temps déjà, et dont je me proposais de dire quelque chose, sans réellement savoir quoi. Il semble que l'obsession fondamentale de la castration occupe beaucoup cet auteur " je relis les quelques pages de ce journal et me demande ce que j'attends pour mettre mon projet à exécution, j'ai devant moi l'objet avec lequel je vais me sectionner le pénis, mais je dois rester fidèle à mon plan de départ, à savoir expliciter pourquoi et comment j'en suis venu à prendre une telle décision " ... Les personnages aux noms japonais en viennent à des extrémités d'une grande violence avec eux-mêmes.

     

    L'écriture n'est pas d'une grande intensité, malgré la tentative de modernité à mon sens un peu vaine consistant à retirer les points et les majuscules initiales des phrases. C'est un peu dommage que cette préciosité masque ce qu'il aurait pu en être du réel tranchant d'une écriture.

     

    La nouvelle de Melville est intéressante et angoissante, de cette phrase dont se soutient le personnage de Bartleby, I would prefer not to, comme si à chaque fois il tranchait sans le dire, et comme si ce refus masqué était une tentative, à la fois vaine et démesurée, de subjectivation, subjectivation qui lui semble impossible puisqu'il y a une fuite également devant un véritable refus, c'est un non qui n'est pas un non, c'est un non non, un à peine, un pas même ; ce qui dès lors fuit dans la nouvelle de Melville, c'est le sujet, il ne devient pas, jamais, il se fond dans une sorte de désêtre ultime, et ne disparaît que d'une sorte de déchéance inéluctable à laquelle il ne participe pas lui-même.

     

    Je ne suis pas sûr que ce soit le cas des personnages d'Emmanuel Steiner, qui disparaissent de leur propre violence, de leur propre volonté, de leurs propres actes, de leur propre décision, consciente ou non, suicide (Seppuku), émasculation... ou qui ne sont qu'à peine là dans leurs actes, même sexuels (Accident)...

     

    Il y a violence et jouissance qui s'étalent dans ces pages, dans une jubilation noire et interrogative, avec quelques vaines tentatives de rationalisation afin de ne pas perdre tout à fait le lecteur.

     

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    Insatisfaisant par bien des points, il y a néanmoins quelque chose qui retient l'attention à la lecture, c'est la liberté que l'auteur semble vouloir se donner d'aller au bout de son fantasme — en ferait-il la traversée, ou serait-il traversé (fendu) par lui — cette liberté qui est si rare aujourd'hui en littérature et que je salue, attendant qu'il se remette au travail d'une écriture réelle, disons peut-être un peu moins ludique, un peu plus profonde, avec moins d'affèterie typographique inutile.

    À suivre, pour voir, comme on dit au poker.

     

    Emmanuel Bing

     

    Emmanuel Steiner

    Nouvelles Bartlebyennes

    96 pages, 10 euros

    ISBN 978-2-9541329-4-5

    Chroniques du çà et là

  • Cathelyne Hemery (Journal Télévisé de 20 heures de TF1, diffusion entre le 14 et le 17 juillet 2014)

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    Un reportage réalisé par Cathelyne Hemery, rédactrice en chef du Service Culture de TF1. Il s'agit en outre de la première journaliste française à avoir obtenu en 2012 une interview de la star britannique de la littérature jeunesse J.K. Rowling.

    Nos vifs remerciements à Catherine Donohue-Weill, Principal du Collège de la Paix à Issy les Moulineaux, pour nous avoir permis de tester Tip Tongue en présence de deux de ses professeurs d'anglais et d'une quinzaine d'élèves de 6ème. 

    Avec Stéphanie Benson, auteur des quatre premiers romans jeunesse de la nouvelle collection Tip Tongue lancée par les Éditions Syros.

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  • Richard Sartène, remarqué dans le Cahier Histoire du Groupe Nice-Matin par Véronique Georges (29 juin 2014)

    nice-matin-logo11-110761.jpgCahier Histoire du Groupe Nice-Matin

    Post-Scriptum

    Capture d’écran 2014-07-01 à 15.43.11.pngUne enfance entre guerre et paix

    Richard Sartène n'est pas le premier à relater comment, âgé de trois ans en 1942, il a vécu caché à la campagne durant la guerre, avec son frère Daniel. S'ils n'ont pas grandi dans la sécurité d'une famille unie, ils ont eu la chance de vivre dans cette Bretagne accueillante, chez la vieille Euphrasie qui les a baptisés très rapidement, une enfance insouciante et heureuse "inoubliable, lumineuse, magique" dit-il. Dans ce cadre rassurant, il n'a pas rencontré l'antisémitisme. Il y a été confronté après, traité de "youpin". Et c'est là, en apprenant le mot juif, qu'il a compris qu'il portait une identité particulière. Cette histoire va mener le lecteur après la fin du conflit, dans une France qui se réveille...

    Les Éditions du Net, 170 pages, 13 euros.

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